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Le jour que j'y suiscomme la bête gigantesque
 du bonheur
 ses pattes à la surface
 du soleil
 quant il y a beaucoup
 du ciel.
 
La nuit que j'y pensecomme le papillon bleu
 de la mer
 ses ailes à suivre les phases
 de la lune
 sans différer la lumière
 de l'ombre.
 
Le temps que j'y saiscomme il faut dans cet ici
 des maintenants
 ses faces à l'émoi
 de jadis
 où on était capable
 d'aimer.
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